C'est une drôle de justice qui en dit long sur le pays et sa conception du monde.
Un Emirati de 23 ans accusé d'avoir battu à mort sur un parking de Dubaï une jeune Nigériane s'en est tiré récemment avec quatre ans de prison: trois ans pour meurtre non prémédité et un an pour agression sexuelle. Il était trois heures du matin et l'homme, sans emploi, sortait d'un bar du Crowne Plaza. Dans le parking, il s'est jeté sur un groupe de Nigérianes qui rentraient chez elles parce qu'elles étaient Noires, et donc, selon lui, prostituées ou quelque chose du genre. C'est en voulant se porter à la défense d'une amie que l'homme tentait de tripoter que la victime a été frappée à coup de poings et à coup de pieds. Elle a été un mois dans le coma avant de décéder.
Autre affaire, autre moeurs. Un Emirati a écopé de la peine maximale, soit 25 ans de prison, pour avoir violé une compatriote. Ou plutôt avoir refusé de l'épouser après l'avoir entraînée chez lui et l'avoir forcée à avoir des relations sexuelles. C'était lui, avant ce viol, qui voulait l'épouser, elle qui ne voulait pas. Après cette affaire, les rôles se sont inversés et il ne répondait plus aux appels téléphoniques désespérés de la jeune femme qui l'a donc dénoncé à la police. Et voilà. 25 ans de prison.
La morale de cette histoire pour les hommes émiratis est que violer une compatriote est inacceptable, mais pour ce qui est d'une étrangère, cela dépend sans doute de son origine, de sa couleur et de sa religion...
Un Emirati de 23 ans accusé d'avoir battu à mort sur un parking de Dubaï une jeune Nigériane s'en est tiré récemment avec quatre ans de prison: trois ans pour meurtre non prémédité et un an pour agression sexuelle. Il était trois heures du matin et l'homme, sans emploi, sortait d'un bar du Crowne Plaza. Dans le parking, il s'est jeté sur un groupe de Nigérianes qui rentraient chez elles parce qu'elles étaient Noires, et donc, selon lui, prostituées ou quelque chose du genre. C'est en voulant se porter à la défense d'une amie que l'homme tentait de tripoter que la victime a été frappée à coup de poings et à coup de pieds. Elle a été un mois dans le coma avant de décéder.
Autre affaire, autre moeurs. Un Emirati a écopé de la peine maximale, soit 25 ans de prison, pour avoir violé une compatriote. Ou plutôt avoir refusé de l'épouser après l'avoir entraînée chez lui et l'avoir forcée à avoir des relations sexuelles. C'était lui, avant ce viol, qui voulait l'épouser, elle qui ne voulait pas. Après cette affaire, les rôles se sont inversés et il ne répondait plus aux appels téléphoniques désespérés de la jeune femme qui l'a donc dénoncé à la police. Et voilà. 25 ans de prison.
La morale de cette histoire pour les hommes émiratis est que violer une compatriote est inacceptable, mais pour ce qui est d'une étrangère, cela dépend sans doute de son origine, de sa couleur et de sa religion...